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Bande de sous-merdes incapables de comprendre la beauté indescriptible de la langue aigrie et par là même d'utiliser ce magnifique outil qu'est le langage écrit. Vous me répugnez, je voudrais pouvoir vomir les immondices que vous êtes et nettoyer ainsi les pores de mon âme que l'exsudat de votre médiocrité imprègne, tapisse et souille.
Je vous conchie violemment du haut de ma planche à image francophone de merde, et déjà me faire chier à pondre directement dans vos gosier ma prose purulente vous donne trop d'importance, larves d'insectes.
Au sujet du proxy: oui, UF est un site totalitaire, indice et symbole de l'émergence d'une nouvelle idéologie ancienne remise à neuve par le jeu des références du passés sans lesquelles l'avenir n'est rien, niquez vos mamans. Je préfère vivre en toute joie et conscience en Iran que d'avaler la merde de l'axe-du-bien-mon-cul, impérialiste et vecteur de toutes les merdes qui tirent toujours plus la France dans la décadence, l'Europe dans l'iniquité de l'économie de marché et le Monde Humain dans la fange du superflu, de l'immédiateté, de l'aliénation au Moi.
Ce bourbier, ce marécage puant, ce gigantesque trou merdeux, c'est Votre monde, c'est le Mien, c'est votre fait, le mien, votre faute, la mienne.
La responsabilité est nôtre, cessons d'attendre des élites les réformes, les évolutions, le Système est une puissance se nourrissant sournoisement d'elle-même, mais aussi de l'esprit des hommes, de leur """liberté""" de pensée, de l'essence de leur être, de la raison de leur existence. Tout cela, le Mal le recycle, le transforme insidieusement, et le modèle selon sa propre image-vacuité. Car le Mal Est vide, il Est néant, c'est une coquille, un receptacle polymorphe, sans substance, adoptant toutes formes, n'en possédant en propre aucune. Le but final de ce magma rampant d'anéantissement, c'est la destruction de la créature telle que le Créateur l'a conçue, l'homme dans sa nature déjà, est plein, il est fini puisqu'il est le produit d'un être infiniment parfait, qui Est La Perfection, l'incarnant en tant qu'elle est un de Ses attributs. La Nature, création divine, a horreur du vide, dit-on, pour le Démon il est une fin en soit, le Rien absolu est la Victoire, finalité d'un processus génocidaire englobant toute vie, toute pensée, tout mouvement, toute chose, temps et espace.
L'une des proie première de la Bête est la parole, l'écriture, la capacité de communication, rendant possible puisqu'elle en est une condition nécessaire l'apprentissage, et par là la transmission de pensées, de savoirs, mais surtout la pérennisation du langage. À votre insu, moutons sans gerber, vous servez par votre aveuglément de trous de bites le Malin.